page 496 le patriarche 497

Je resterai toute la nuit sur ma chaise longue, le micro-climat rend la nuit douce et agréable. Malgré l'immense ville, les lumières restent douces et parsemées, les bracelets permettant un traitement de la vision pour ajouter une vue plus claire en surimpression. La nuit est noire, la lune n'est pas encore levée. C'est d'ailleurs sa lumière qui me réveillera, un peu plus tard dans la nuit. Je resterai éveillé un moment, sans doute une heure, n'ayant plus vraiment sommeil, inquiet du lendemain, et tellement seul. Ah... Pénoplée...