attendre que le soleil soit assez haut, c'est peut-être pareil.
- Oui, mais qu'est-ce qu'on peut faire ? Pour l'instant nous n'avons trouver aucun endroit où nous cacher.
- Dernièrement nous n'avons pas trop chercher.
Énavila nous coupe tous les deux, "dépéchez-vous, bon sang, qu'est-ce que vous trainez, courrez dans ma direction, j'ai reussi à rejoindre un troupeau d'énormes lézards, ils ne sont pas très aggressifs, au milieu d'eux nous seront protégés, mais magnez-vous !"
"Mais ils sont à plusieurs dizaines de kilomètres, lui répond Sarah, et en plus nous ne voyons aucun grillés, d'ici, tout est calme."
"Écoutez, ils foncent sur vous, j'en suis sûre, alors courrez, venez vers moi, ou planquez vous, mais préparez-vous à les prendre sur la tronche !"
Si l'avertissement d'Énavila nous stresse un peu et nous mets sur nos gardes, nous restons tout de même plutôt perplexes. Ce qui ne nous empêche pas de marcher plus vite dans la direction d'Énavila, sans que nous décidions de céder à la panique et de courir.
Après une heure ou deux et le soleil qui nous réchauffe, nous marchons de nouveau plus calmement. Énavila semble toujours se diriger vers nous à grande vitesse, et nous finissons par nous dire que c'est une façon pour elle de nous rejoindre sans avoir à se justifier.